Le calvaire

On a affirmé sans hésitation que la plus belle croix du diocèse était le CALVAIRE DE LA NOUAYE. Ce beau monument qui date du début du XVIè a malheureusement été mutilé à la révolution.

Rappelant les beaux calvaires à personnages de bretagne, c’était un monument grandiose de 8 mètres de hauteur, relié à l’église par une arcade.

On peut difficilement se faire une idée de l’ensemble, des éléments auraient été dispersés ; « on croit que les deux lions ou chimères devant l’église de PLEUMELEUC en proviennent, d’autres parties auraient été portées à SAINT GONLAY ? Des débris auraient été employées pour les ouvertures du presbytère. Le fût serait en trois parties, il portait trois traverses ».

Les statues déposées dans l’église nous permettent d’imaginer l’ensemble.

Le beau Maître-autel rappelle la Renaissance. Des statuettes et un bas-relief représentant la Cène l’enrichissent. Saint Etienne, patron de la paroisse, est représenté en statue et en vitrail.

Tout en haut un beau Christ en granit, les bras tendus sur la traverse supérieure, sur la grande traverse centrale : à droite le bon larron avec un ange emportant son âme au Paradis à gauche le mauvais larron abandonné par son ange gardien. Un jeune homme qui sembles être SAINT ETIENNE et SAINT HUBERT arrêtant son cheval. Au bas du calvaire, une belle Piéta. Autour, les 4 évangiles.

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